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L’invité inattendu Le futur matin, Madeleine s’éveilla tard, tourmentée par des désirs agités. La découverte de la nuit précédente l’avait tellement absorbée qu’elle n’avait pu fermer l’œil évident l’aube. Des révélations d’époques passées se mêlaient à bien des vidéos de l'homme en robe blanche, dont le visage déformé par la détresse la hantait. Lorsqu’elle descendit dans la cuisine pour prendre un café, un léger cognement à bien la porte d’entrée la fit sursauter. Personne ne rendait consultation à bien Madeleine à l’improviste, et encore moins de si bon matin. Elle hésita un instant, craignant de trouver une solution à un intrus ou, pire encore, à une hantise. Mais le distractions se répéta, dessinant. Elle alla déchiffrer. Sur le bornage se tenait un homme d’âge mûr, vêtu d’un manteau noir et coiffé d’un chapeau un doigt incomparablement grand pour lui. Ses yeux, cerclés de émoi, semblaient receler un abîme de symboliques. Il se présenta sous le titre de Damien, attestant participer à passage dans la région. — Je vous demande pardon, homme, commença-t-il d’une voix rauque. Je suis arrivé hier soir et j’ai passé l'obscurité dans l’auberge voisine. Les habitants du espace m’ont parlé de vous… Il paraît que vous possédez un désir spéciale. Madeleine, méfiante, hocha la mine du visage sans un mot. Il poursuivit : — On raconte que vous pouvez proférer les mystères de l’invisible, et j’ai grand principe de vos interventions. Elle l’invita à bien se rassembler, l’observant du espace de l’œil. L’homme semblait nerveux, comme par exemple si des attributs le poursuivait ou l’obsédait. Une fois assis dans le salon, elle lui proposa un thé. Damien l’accepta d’un symbolisme de portrait, mais son regard errait dans la parure, s’attardant sur les electroménager secrètes qui décoraient la table. — Je ne sais pas par où entamer, avoua-t-il en outre. Il est fabriqué avec six ou sept mois, j’ai perdu ma femme… Elle était tout pour tempérament, et depuis son début, ma tenue a toujours été un sérieux cauchemar. J’entends sa voix la nuit, je sens sa présence me tâter la joue. Parfois, je la vois au manigance d’un couloir, immédiate une silhouette… puis elle disparaît. Il prit une profonde guidance évident de reprendre : — On m’a dit que vous pouviez concéder avec celle qui ne sont plus parmi nous. Je ne cherche pas à la susciter calmer, je sais que c’est impossible. Mais j’ai envie de réponses : mobile se manifeste-t-elle ? Veut-elle me dire quelque chose ? Tandis qu’il parlait, Madeleine remarqua que l'emportement d’une toiture, posée non loin de là, vacillait étrangement. Comme sous l’effet d’un grâce invisible. Elle sentit son cœur s’accélérer. L’ambiance était chargée d’électricité, comme par exemple si un troisième récepteur venait de turlupiner usage place auprès d’eux. — J’essaierai de vous accompagner, finit-elle par consolider. Mais avant tout, je dois vous apporter en maintienne. Lorsque l’on ouvre la porte qui soit de l’invisible, on ne sait jamais qui ou quoi va répondre. Damien acquiesça d’un geste lent, son physionomie reflétant conjointement l’espoir et la frayeur. Avant d’entamer l'appel, Madeleine l’emmena dans la parure où elle travaillait généralement. Elle y avait déjà préparé une table ronde recouverte d’un drap brodé d'ornements impénétrables, bonheur voyance et disposé deux ou trois instruments de divination : un pendule, un divertissement de cartes, et un vitre ténébreux. — Laissez votre esprit aisé, chuchota-t-elle en posant ses mains sur les siennes. Ne forcez rien, mais ne résistez pas non plus. Elle alluma postérieurement un pilier d’encens, ferma les yeux et se concentra sur la présence qui semblait rôder qui entourent Damien. Très rapidement, une catégorie de brume psychique s’installa dans la pièce, rendant l’atmosphère lourde et le silence oppressant. Soudain, la chef la plus correspondant d’eux s’éteignit, plongeant la table dans une semi-obscurité. Damien se raidit, la gorge nouée par l’émotion et la émoi. Au même tombant, Madeleine sentit un courant glacial frotter sa peau. Une voix murmura, peu élevé mais distincte : — Pourquoi m’as-tu laissée seule ? Damien blêmit. Il reconnut cette voix. Celle de sa femme décédée. Les larmes lui montèrent aux yeux. Sans attendre, Madeleine prit sa index, recherchant à canaliser l’énergie vendue. — Je… je me perçois là, balbutia Damien, la voix tremblante. Le murmure se fit plus prononçant, presque plaintif. Puis, tout cessa brusquement, comme par exemple si on avait coupé le cours d’une radio. La culte de la frite se ralluma spontanément, projetant sur le mur l’ombre tremblante des médiums et de son invité. Damien, bouleversé, chercha des réponses dans le regard de Madeleine. Mais elle-même était encore sous le choc. Jamais elle n’avait ressenti un phénomène d’une telle vitesse, à bien part peut-être la veille, avec la présence de la personne en robe blanche. Quel lien y avait-il entre l’esprit du passé enfermé dans la vénérable maison et la défunte épouse de Damien ? Tandis que la réalité reprenait ses brevets, Madeleine se demanda si l’entité qu’elle tentait de prendre se servait de Damien pour adevenir. Après tout, la extrémité entre les vivants et les morts était mince, et ses saisons récentes prouvaient que, relativement souvent, les esprits communiquaient entre eux. L’homme en taciturne, encore hébété, se leva doucement. Il s’excusa, chuchotant qu’il devait pouvoir affecter l’air, et sortit en trombe. Madeleine resta seule, le cœur battant la chamade, plus résolue que jamais à venir le miroir de l'antique maison et à aider Damien. Elle ignorait que ces deux trajectoires religieux allaient bientôt se croiser d’une touche qu’elle était loin d’imaginer.